Test du Nikon 1 V2 et du Nikon 1 J3 : les appareils photo sont meilleurs que prévu

Ces dernières années, le marché des appareils photo amateurs a connu deux tendances opposées : d’une part, les fabricants tentent d’intégrer des fonctions familières et souhaitables dans des boîtiers de plus en plus compacts et, d’autre part, la taille physique des capteurs d’images augmente. La « course aux mégapixels » dans le développement des capteurs a été largement remplacée par la course à la taille, et le format compact de l’appareil photo combiné à une qualité d’image élevée attire non seulement les nouveaux venus, mais aussi les amateurs et les professionnels confirmés. Les appareils photo à optique interchangeable sans miroir ou « système » lancés au début de 2009 répondent à ces deux tendances, en ajoutant la polyvalence du choix de l’optique aux boîtiers compacts et à la grande taille du capteur.

Testé par : Vladimir Dorofeev

Appareil photo sans miroir Nikon 1 J3

Spécifications

	Nikon 1 V2	Nikon 1 J3
Le Mont	Nikon CX, facteur de recadrage 2.7
Capteur d’image	CMOS 13,2 x 8,8 mm, 14,2 mégapixels
Processeur	EXPEED 3A traitement par double processeur d’image à 850 mégapixels par seconde
Étanche à la poussière	activation/désactivation du nettoyage du capteur	pas de
Viseur	Viseur électronique TFT LCD de 0,47″ avec 1 440 000 points et une couverture de l’image de 100%	pas de
Afficher	Écran LCD TFT de 7,5 cm avec une résolution de 921 000 points
Flash intégré	i-TTL, GN 5 m ISO 100
Sensibilité ISO	ISO 160-6400 par paliers de 1 EV
Plage de vitesse d’obturation	mech. Obturateur : 30 à 1/4000 s, électronique. Vitesse d’obturation : 30 à 1/16000 sec	obturateur électronique : 30 à 1/16000 s
Autofocus	Autofocus hybride à 135 points 73 points centraux supportant la phase AF
Mesure de l’exposition	TTL avec capteur d’image. Matrice, pondération centrale, prise de vue directe
Modes de prise de vue	auto, P, A, S, M
Format du cadre	JPEG, RAW NEF 12 bits, RAW+JPEG
Prise de vue en continu	5, 10, 15, 30 ou 60 images par seconde
Vidéo	Full HD à 30 ou 60i images par seconde, Time Lapse
Cartes mémoire	SD, SDHC, SDXC
Interface	USB, HDMI Type C, port accessoire multifonctionnel	USB, HDMI Type C
Puissance	Batterie lithium-ion de 7,2 V, 1 485 mAh, 310 photos	Batterie lithium-ion 7,2V, 1020mAh, 220 tirs
Dimensions	107,8×81,6×45,9mm	101×60,5×28,8mm
Poids	278g 337g avec la batterie	201 g 244 g avec la batterie

Introduction

Nikon a annoncé le système sans miroir Nikon 1 en septembre 2011, deux ans après qu’Olympus et Panasonic aient lancé leurs premiers appareils photo sans miroir. L’annonce a suscité beaucoup de doutes et de critiques : les nouveautés répondaient pleinement aux attentes en termes de taille du corps, mais étaient basées sur un capteur CMOS d’un pouce 13,2 × 8,8 mm.

La décision logique du fabricant est difficile à remettre en question : Nikon voulait à tout prix ne pas perdre de temps et rejoindre le segment de marché en pleine expansion des systèmes sans miroir, tout en essayant d’éviter le « cannibalisme » en séparant clairement le nouveau système de ses modèles reflex.

La logique est logique, mais l’attrait et la compétitivité du nouveau système ont fait et font toujours l’objet d’un débat considérable. Nikon, en revanche, s’est appliqué à développer sa gamme d’appareils photo sans miroir et son parc d’optiques : 7 appareils photo et 11 objectifs en 2 ans – un total impressionnant.

D’une manière ou d’une autre, le Nikon 1 est intéressant. La façon dont le fabricant a réussi à exploiter le potentiel des optiques interchangeables en combinaison avec un petit capteur d’image et si le système peut être considéré comme un outil sérieux? Essayons de répondre à ces questions en prenant le Nikon 1 V2 et le Nikon 1 J3, deux appareils photo système Nikon 1 actuels, en compagnie de 6 objectifs pour les tester.

Fabrication, commandes et ergonomie

Le débat sur les forces et les faiblesses est sans fin, mais vous ne pouvez pas contester la qualité de Nikon 1 : les deux modèles sont fabriqués avec soin et attention aux détails, imposant le respect et ne laissant aucune place à la critique. La société n’est pas avare de prix, mais les caméras et les objectifs du système sont à la hauteur en termes de matériaux et de qualité de fabrication. Le corps du Nikon 1 J3 est en aluminium, le châssis du Nikon 1 V2 est en métal.

Le plastique de haute qualité de l’ancien modèle est agréable au toucher, et le métal et le plastique similaire sont utilisés dans les lentilles du système. La seule critique concerne la construction du flash intégré sur le modèle le plus jeune : sa durabilité est quelque peu douteuse.

Les modèles testés sont similaires à de nombreux égards en termes de conception et de capacités ; les différences résident dans l’ergonomie, les caractéristiques et les fonctionnalités. Le public cible auquel sont destinés les protagonistes du test est facilement identifiable par leur apparence. Ainsi, la disposition et la conception du Nikon 1 J3 ressemblent à celles des appareils photo numériques compacts habituels pas de viseur, très peu de commandes, et le modèle est clairement destiné aux débutants et aux utilisateurs d' »appareil photo numérique » . Le Nikon 1 V2 ressemble à une version plus petite d’un reflex numérique traditionnel, avec un viseur électronique et davantage de commandes ; il est plus susceptible de plaire aux photographes qui cherchent à contrôler rapidement le processus de prise de vue.

Le Nikon 1 V2 est l’un des appareils photo les plus attrayants : les photos, malheureusement, ne traduisent pas la merveilleuse combinaison de l’aspect « jouet » et de la compacité avec le « sérieux ».

L’ensemble des commandes sur le panneau supérieur du Nikon 1 J3 se limite au sélecteur de mode et à 3 boutons – alimentation, enregistrement vidéo et déclenchement. Il a fallu s’habituer au bouton d’alimentation : je le confondais constamment avec le bouton d’enregistrement vidéo. Je n’ai pas aimé la molette de sélection des modes : elle était bien placée, mais je ne comprends pas pourquoi elle n’avait pas un accès direct aux modes créatifs. Le panneau supérieur du Nikon 1 V2 est traditionnel et confortable : le levier de mise sous tension est placé sur le bouton de l’obturateur, la molette de sélection donne un accès direct à tous les modes de prise de vue et la molette de commande est joliment placée.

Le panneau avant est peu encombré sur les deux modèles ; les commandes se limitent au bouton de déclenchement de l’objectif et à l’illuminateur d’assistance AF. V2 ajoute un capteur IR à distance. L’axe du Nikon 1 J3, équipé uniquement d’un obturateur électronique, est recouvert d’un écran transparent pour protéger le capteur de la poussière ; le Nikon 1V2, qui partage un obturateur mécanique avec un obturateur électronique, n’a pas d’écran de ce type.

L’arrière du Nikon 1 J3 est laconique : il est dominé par un écran de 3 pouces 7,5 cm de diagonale de 921 000 points, avec à droite l’affichage, l’accès au menu, le multiselecteur et le bouton de suppression. La marge de luminosité de l’écran est suffisante pour une utilisation dans la plupart des situations, mais elle est insuffisante en cas de fort ensoleillement. La raison pour laquelle Nikon n’utilise toujours pas d’écrans tactiles sur ses appareils photo Nikon 1 n’est pas claire : une telle décision est clairement souhaitable et peut apporter beaucoup de commodité et d’efficacité.

L’écran du Nikon 1 V2 est le même que celui du modèle plus jeune, mais il y a un viseur électronique au-dessus, des boutons à gauche de l’écran, un bouton DISP mode d’affichage commutable et un bouton F pour un accès direct aux paramètres les plus courants. La taille compacte du boîtier impose des restrictions sur la taille des commandes, mais le Nikon 1 V2 a réussi à les rendre aussi pratiques que possible. J’ajouterais que les deux modèles sont équipés d’un multi-sélecteur de qualité, permettant une navigation rapide dans le menu et les réglages de l’appareil.

En termes d’ergonomie, le Nikon 1 J3 ressemble à un appareil photo compact conventionnel, avec un jeu de commandes extrêmement limité et une prise en main peu articulée et inarticulée. Le fait qu’il ne s’agisse pas d’un compact basique et économique, vous ne vous en souvenez que lorsque vous changez d’objectif.

Le Nikon 1 V2 est plus familier et plus convivial. Tout d’abord, la présence d’un bon viseur électronique avec une luminosité réglable, un réglage dioptrique et une couverture du viseur à 100%. Le modèle senior est étonnamment pratique : malgré sa taille réduite, les commandes sont bien placées, l’appareil est agréable en main, et le boîtier en forme de reflex numérique traditionnel n’est pas une extravagance de conception, mais une solution réussie qui garantit un fonctionnement confortable et fiable.

Flash

Les modèles testés ont la même puissance de flash intégrée, les mêmes modes et le même contrôle i-TTL le modèle phare précédent de la gamme, le Nikon 1 V1, n’avait pas de flash intégré . Les flashs sont levés en appuyant sur un bouton dédié sur le côté gauche du Nikon 1 J3, près des connecteurs.

Nikon 1 V2 – sur le côté du corps du flash. Les caractéristiques déclarées du flash se rencontrent, mais la limitation du plus jeune modèle – l’obturateur électronique J3 donne une vitesse de synchronisation de l’obturateur seulement 1/60ème de seconde ou plus lent – impose certaines restrictions sur le travail réussi en mode flash d’appoint le plus ancien modèle lors du travail de la vitesse de synchronisation de l’obturateur mécanique est 1/250 secondes .

Le connecteur d’accessoires du Nikon 1 V2 évoque sans ambiguïté l’acquisition d’un flash intégré, mais la décision du fabricant d’utiliser un connecteur dédié qui limite le choix à deux modèles seulement – les Nikon 1 SB-N5 et SB-N7 – est déconcertante. Je pense que la possibilité d’utiliser des flashs externes Nikon encouragerait de nombreux propriétaires de reflex numériques Nikon à acheter le Nikon 1 comme deuxième appareil photo.

Mise au point

Les modèles testés utilisent les mêmes modules autofocus : un système hybride avec 73 points autofocus en phase et 135 en contraste. Je pense que l’autofocus du Nikon 1 reste l’un des leaders du marché des appareils sans miroir, même si les concurrents ont réduit l’écart au cours des deux années qui ont suivi la sortie du système. Néanmoins, l’autofocus des deux appareils est précis, rapide et fiable, quel que soit l’objectif utilisé.

Les avantages indéniables sont les performances du suivi et de l’autofocus continu ; les inconvénients connus sont l’impossibilité d’influencer le choix de la méthode de mise au point autofocus de phase ou de contraste et la forte baisse de vitesse dans des conditions d’éclairage défavorables lorsque l’automatisation passe à l’autofocus de contraste.

La mise au point manuelle reste un point sensible : la facilité d’utilisation du sélecteur rotatif est largement compensée par le manque de détails de l’affichage. Nikon a répondu aux critiques des amateurs de mise au point manuelle en lançant le haut de gamme Nikon 1 Nikkor 32/1.2, le premier objectif du système doté d’une bague de mise au point manuelle dédiée.

Vitesse

A première vue, il est difficile d’attribuer les héros de la revue aux recordmen : le temps entre la mise sous tension et la première photo, l’enregistrement sur la carte mémoire, la prévisualisation et la navigation dans le menu n’est pas différent de celui des concurrents. Mais les modèles testés présentent des avantages indéniables : la vitesse d’obturation électronique de 1/16000 seconde et la possibilité d’enregistrer une série de 40 photos en pied à une cadence pouvant atteindre 60 images par seconde. Les deux sont négligés par un regard rapide sur les spécifications, mais les deux s’avèrent être utiles à l’usage.

Tirer

La convivialité et l’ergonomie sont importantes, mais la qualité de l’image est la principale caractéristique d’un équipement photo, et c’est la capacité d’un capteur inhabituellement petit qui a suscité les plus grandes inquiétudes. À l’instar de l’industrie automobile, où la cylindrée du moteur reste l’une des caractéristiques objectives permettant de comparer des modèles rivaux, le « volume du moteur » – la surface du capteur – du Nikon 1 représente presque la moitié de la taille des capteurs au standard micro4/3 17,3×13 mm et 3,2 fois la surface des capteurs au format APS-C 23,5×15,6 mm .

Commençons par les conclusions : il n’y a pas eu de miracle, mais les modèles testés n’ont pas non plus provoqué de déception cuisante. Le fabricant a réussi à tirer le maximum du capteur en pouces, mais n’a pas encore réussi à rivaliser sur un pied d’égalité en matière de bruit et de plage dynamique. Les modèles testés sont basés sur des capteurs d’image CMOS Aptina avec 14,2 mégapixels et une sensibilité de 160 à 6400 ISO.

Le niveau de détail et la netteté sont parfaits, grâce notamment à la grande qualité de l’optique du Nikon 1 : aucun des six objectifs que nous avons testés n’a suscité de plaintes ou n’a été un facteur limitant. La résolution de 14 mégapixels n’est pas un record de nos jours, mais elle est plus que suffisante pour travailler confortablement et imprimer jusqu’au format A3+.

Le bruit est bien présent aux réglages ISO élevés, mais les photos correctement exposées surprennent agréablement : avec la réduction du bruit désactivée jusqu’à 800 ISO, 1600 ISO est correct, 3200 ISO est raisonnablement acceptable, mais 6400 ISO est à éviter – tout comme les principaux concurrents. La réduction du bruit est très douce, préservant autant de détails que possible.

La taille du capteur est un inconvénient dans les zones sous-exposées : sans réduction du bruit, un bruit coloré intrusif est déjà visible à 400 ISO, et l’activation de la fonction entraîne une dégradation de la résolution dans les zones sous-exposées qui ont été corrigées.

Cela s’applique également dans une large mesure à la prise de vue en RAW NEF : une image sans zones sous-exposées ne pose pas de problèmes à 160-1600 ISO et est acceptable à 3200 ISO. La réduction du bruit est présente dans les images RAW, quels que soient les paramètres du menu, mais elle est appliquée de manière assez délicate.

Pas un mauvais résultat dans l’ensemble, si ce n’est pire que la concurrence, c’est étonnamment insignifiant. Cependant, beaucoup dépend de la bonne exposition.

Deux réglages inhabituels sur les appareils photo que nous avons testés. D’une part, la fonction AutoISO des reflex numériques Nikon, qui fonctionne parfaitement, allonge souvent inutilement la vitesse d’obturation afin d’éviter les sensibilités élevées, ce qui se traduit par des prises de vue floues ou floues ; d’autre part, la mesure d’exposition intégrée est programmée pour éviter la sous-exposition et, par conséquent, le bruit de couleur , ce qui entraîne souvent des zones « assommées » lors de la prise de vue de scènes très contrastées. Les « Styles d’images » proposés ne semblent pas avoir d’effet. Je préfère la traditionnelle « exposition à la lumière », c’est pourquoi le réglage par défaut avait une compensation d’exposition négative de 1/3 ou même 2/3 de stop, ce qui donne le résultat habituel, bien qu’au prix d’un bruit de couleur.

Le D-Lighting actif remédie à cette situation dans une certaine mesure, et dans les modes automatiques, je recommanderais de l’utiliser en permanence. Le mode HDR n’est pas déraisonnable pour les scènes à contraste difficile. L’absence de bracketing d’exposition, qui, combiné à l’exceptionnelle vitesse de prise de vue en continu de 60 images par seconde, aurait permis une prise de vue HDR à main levée confortable, est une déception.

Le modèle plus jeune ne dispose pas d’un bouton de verrouillage de l’exposition dédié : sur le V2, la fonction AE-L/AF-L apparaît sur le sélecteur multiple ; sur le J3, l’exposition est uniquement verrouillée en appuyant à moitié sur le bouton de l’obturateur.

J’ai aimé la balance des blancs automatique : les deux appareils sont précis et fiables dans la reproduction des couleurs, même dans des conditions d’éclairage difficiles.

Conclusion : je m’attendais à pire! Malheureusement, nous ne pouvons pas dire que le système Nikon 1 se compare ou surpasse ses grands rivaux, mais étant donné la différence de taille du capteur d’image, le résultat est respectable.

Vidéo

Les deux caméras que nous avons testées offrent un excellent potentiel vidéo, aussi bon, et souvent meilleur, que celui de la concurrence. La vidéo Full HD avec un autofocus fiable, une exposition prévisible, une balance des blancs fiable et une personnalisation flexible ne vous décevra pas.

Conclusions

Apprendre à connaître le Nikon 1 a permis de briser les idées préconçues. En fait, le Nikon 1 s’est avéré meilleur que ce que ses spécifications suggéraient. Le système Nikon 1 est capable d’être l’étape suivante pour ceux qui utilisent des appareils photo numériques mais décident d’opter pour une qualité et une fonctionnalité supérieures. Lorsqu’ils choisissent un deuxième appareil photo, les amateurs avertis ne doivent absolument pas oublier Nikon 1 : l’expérience et le savoir-faire de l’un des leaders incontestés du marché sont pleinement incarnés dans les appareils photo et les objectifs Nikon 1.

Parmi les nombreux atouts incontestables du système, citons la qualité de sa gamme d’objectifs, l’un des meilleurs autofocus, la fiabilité de son système d’automatisation et la qualité de sa construction et de ses matériaux.

Les inconvénients sont également présents, le principal étant le prix élevé qui dépasse souvent celui des modèles concurrents équipés de capteurs plus grands.

Le Nikon 1 a un potentiel et un vecteur d’évolution évidents : le progrès ne s’arrête pas, et dans quelques années, les limites actuelles liées à la taille physique des capteurs seront largement dépassées… Nikon travaille pour l’avenir.

Tests d’images

Reproduction neutre et fidèle des couleurs. Nikon 1 V2. ISO 250, 1/60 s, f/8.

Grande netteté et absence de « bouillie », typiques des petits capteurs. Nikon 1 V2. ISO 800, 1/25s, f/8.

La plage de luminosité d’une scène pas très sophistiquée dépasse les capacités du capteur. Grande netteté et détails sur l’objectif du kit Nikon 1 10-30/3.5-5.6 VR déjà à pleine ouverture. Nikon 1 V2. ISO 220, 1/125 sec, f/3.5.

Nikon propose un superzoom de qualité avec des longueurs focales équivalentes de 27 à 270 mm et un stabilisateur optique. Nikon 1 J3, objectif 10-100/4-5.6 VR. ISO 200, 1/250 s, f/6.3, distance focale 100 mm Eq. 270 mm .

Photographie de nuit à main levée avec le nouvel objectif Nikon 1 32/1.2. Nikon 1 J3, ISO 1100, 1/60 s, f/1.2. Réduction du bruit désactivée.

ISO 2200 – bruit de couleur gênant et perte évidente de détails. Nikon J3, ISO 2200, 1/30 s.

Excellente qualité dans des conditions favorables. Nikon J3, ISO 160, 1/2500 s, f/2.8.

Résolution réduite, mais le bruit des couleurs est discret et peut être supprimé en post-traitement. ISO 2800, 1/15s, f/5.6

Dans un effort pour éviter la sous-exposition, le système automatique surexpose souvent les cultures. Mesure matricielle, ISO 160, 1/2000 s.